ANECDOTES

 

Mes histoires, elles sont derrière moi ou bien présentes, au quotidien.
Les moments de détente au Café Mode, aujourd’hui fermé et qui était situé à deux pas des anciens locaux d’Europe 1 (rue François 1er), le soir après le labeur.

Ici avec Olivier Desch dit Déchounet, responsable des opérations extérieures à Europe 1, la complicité s’affiche avec affection… Comme avec toute l’équipe du Café Mode qui partageait nos contraintes professionnelles.

QUELQUES ANECDOTES

Soirée épique avec Michel Rocard.
Ce fut l’interview la plus ratée et la plus gaguesque de ma vie !
Émission à 20h30 sur Antenne 2 consacrée à la sécurité routière avec le Premier ministre de l’époque. Personne à la rédaction veut s’y coller et l’on dépêche le Sieur Météo avec comme consigne de laisser parler Michel Rocard. J’ai donc animé la soirée puis cédé le micro au Premier ministre qui me l’a rendu 30 minutes après sans que je lui pose une seule question. J’espérais qu’il s’interrompe n’ayant rien à lui dire. J’ai attendu en vain.. un Premier ministre à 20h30 à la télé ça carbure !!! Les téléspectateurs ont déserté et j’ai conclu l’émission honteux et confus mais certain que l’on ne m’y prendrait plus…

 

Partie de pétanque au Champs de Mars avec mon célèbre homonyme : le professeur et chirurgien cardiaque Christian Cabrol. Ce grand monsieur nous a quitté le 16 juin 2017.

Le professeur et moi avions des ancêtres communs du coté de Boissezon dans le Tarn. Nous nous lancions du « cousin » à cœur joie.
Il jouait pas mal à la pétanque… le « cousin » chirurgien… pionnier de la greffe cardiaque en Europe.

 

Un lundi soir, 23h…
Visite surprise dans les studios de Fun Radio… où la température a vite grimpé. Ici avec Pipo, Rémi et Sophie Gaillard, ma grande complice du Téléshopping.

 

Yann Queffélec est un incorrigible flatteur, menteur (disons romancier), mais surtout séducteur.
Entrant dans un célèbre café parisien, il séduit (malgré lui, me confiera-t-il) une femme solitaire, perdue au milieu de ses verres de liqueur, désespérée, au comptoir du bar. La « jeune » naïve tomba follement amoureuse à la vue du romantique écrivain qui savait parler avec ses yeux.
Malheureusement pour elle, Yann est un homme de valeurs (Si ! Essayez de me croire un peu !) et de morale. Il ne pouvait se jeter dans les bras d’une autre alors que celle qu’il aime l’attend chaque soir, à la maison, patiemment, passionnément (c’est ce qui se dit !). Alors, pour ne point le cœur lui briser, la chaise sur laquelle il s’était assis, à la belle il lui offrit (et en courant, il partit !). Mais la chaise avait un prix, un prix d’ami lui confia le patron ! Trois mille euros pour un acte de tendresse, quel séducteur ce Queffélec !